En 30 minutes, lundi matin 16 mars, les 17 collaborateurs de l’équipe transicia se sont mobilisés pour migrer en tout confort vers leur poste en télétravail, à leur domicile, sans aucune dégradation de service et parfaitement opérationnels pour soutenir salariés intérimaires, candidats et clients.

Bâti depuis plusieurs années, notre plan de continuité fonctionne à plein régime.
Bien que la réglementation ne nous oblige pas à la fermeture au public, transicia a fait le choix de basculer en format télétravail :

• base de données partagées sur un espace cloud sécurisé et exclusif à transicia depuis 1 an,
• bureaux connectables à distance depuis 6 ans,
• téléphones transférables sans modification de numéro depuis 4 ans,
• entretiens vidéo depuis 4 ans,
• transfert de documents avec signatures électroniques depuis 6 ans.

Nous sommes fiers d’être prêts et nous sommes désolés d’avoir l’occasion de le démontrer.  Sécurisation de nos salariés permanents, suppression du risque de contamination, tout particulièrement pour les personnels soignants recrutés par notre activité santé, garantie d’une totale continuité de service pour nos clients, salariés intérimaires et candidats. Tels sont les bénéfices obtenus avec cette organisation.
Tout particulièrement pour nos clients du secteur de l’agroalimentaire et de la santé, le combat ne fait que commencer.

Fort de cette organisation bien rodée, transicia peut orienter toute son énergie vers l’accompagnement de ses partenaires :

• Accompagnement des salariés intérimaires en chômage technique
• Accompagnement de nos clients dans l’anticipation de leurs décisions RH
• Anticipation de futurs besoins de nos clients par une pré-mobilisation de nos collaborateurs intérimaires, tout spécialement dans le secteur de la santé.

Merci à nos partenaires historiques Nextcloud, GSI Network et Digimium en cette période difficile !

Notre mission ne varie pas depuis 15 ans : faciliter la rencontre entre les besoins RH d’une organisation et une compétence, de manière agile, réactive et responsable.
Patrick RIOUX